• Les nuits de feu - 13e édition

     

    Par un temps magnifique et sous la chaleur estivale de ce début de mois de septembre 2016, je suis allée au Festival pyrotechnique de Lectoure (Gers).

    Basé dans le bas de la ville, au stade, le festival « Les nuits de feu » devait commencer à 18 heures avec l'envol de montgolfières. En arrivant à 18 heures passées de quelques minutes, sur le chemin, je me trouve derrière un véhicule tractant une remorque avec l'inscription « Montgolfières du Quercy ». C'est bon, je ne suis pas en retard.

    18h20 -> Les montgolfières arrivent seulement. Elles finiront par s'élever dans les airs vers 19h30. Un beau spectacle que de voir les montgolfières se remplir d'air et s'élever par l'action des flammes.

    Montgolfières

    La ville de Lectoure accueille une équipe de passionnés chez qui baptêmes de l'air et vols en montgolfières sont possibles (toutes les infos sur http://www.montgolfieres-gascogne.fr/).

    Je m'installe dans les tribunes du stade. Trop chaud, pas d'air... j'étouffe. Je me déplace vers un coin d'ombre sur la pelouse. Il n'y a plus qu'à attendre 21h30 pour le show d'artifices.

    En attendant, je fais la connaissance d'une dame avec qui je suis restée toute la soirée. Elle était venue la veille. Par elle, j'apprends qu'il y avait 4 000 spectateurs le vendredi soir, et que nous étions entre 8 000 et 10 000 personnes ce samedi.

    22 heures : la pyrotechnie commence. Les différents artificiés se succèdent. On en prend plein les mirettes et plein les esgourdes aussi (Boules Quiès conseillées).

    Ma préférence va à l'équipe Akouma. Un savant mélange de spectacle de rue et de pyrotechnie avec un tableau nommé « Human Fire ».

     

    Une vidéo d'une autre équipe. Il s'agit de la prestation de Pyrosymphonie dans « Focus » avec les hits de l'année.

     

    À la fin du spectacle, l'embrasement de la cité :

     

    Durant le spectacle, un arbre s'est enflammé. Heureusement, pompiers et artificiés ont rapidement maîtrisé l'incendie. La pyrotechnie est magique mais reste dangereuse.

    L'organisation est très efficace. Le départ de Lectoure s'est fait très paisiblement grâce à la gendarmerie et au bénévoles qui faisaient la circulation.

     

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  • La nuit des légendes

     

    Cette semaine, se déroulait « La nuit des légendes » au château de Caumont (Cazaux-Savès).

    Pour une première expérience, j'avais opté pour une participation à 19h30 ainsi, en cas de peur, il ferait encore jour en sortant, ce qui est plus rassurant ! Non pas que je sois trouillarde mais bon, on ne sait jamais.

    Le principe est que nous avançons dans les pièces et couloirs du château dans le noir (ou presque vu l'heure) et des personnages nous accueillent par-ci, par-là.

     

    L'HISTOIRE

    Au XIXe siècle, Sophie, épouse du marquis de Caumont, admirait les jardins à la française. Lorsqu'elle épousa Armand, elle entreprit d'importants travaux pour rendre au jardin du château de Caumont, sa noblesse d'antan. De nombreux jardiniers furent engagés et travaillèrent sans relâche pour répondre aux exigences de la marquise. Mais parfois, accablés par la fatigue, certains faisaient preuves de négligence. Lorsque Sophie s’en apercevait, ne le supportant pas, elle entrait dans des colères noires. Sa fureur se révélait sans limite. Un soir d'orage, les employés du château, excédés de ses excès, l'empoisonnèrent durant le dîner. Armand ne s'en serait jamais remis car il l'aimait éperdument. Depuis, la légende raconte que Sophie reviendrait à la vie une nuit par an, pour assouvir sa vengeance. Les villageois apparleraient cette nuit de purge, la Nuit des Légendes.

    Une nuit de printemps, vous décidez de visiter le château de Caumont. Dehors, l'orage gronde. Vous avez réservé à l'avance et votre guide, Carolina, vous attend déjà dans le hall. Les portes du salon royal s'ouvrent, puis se referment sur votre passage. Un courant d'air froid traverse soudainement la pièce. Les lumières vacillent puis s'éteignent tout aussi soudainement. Plus rien. Des cris raisonnent alors dans le château. Une ombre apparaît dans le coin de la pièce. La Nuit des Légendes peut commencer.

    L'histoire du spectacle est inspiré d'anecdotes s'étant déroulées au château mais n'est aucunement une reconstitution historique.

     

    Je suis arrivée à 19h10 pour une représentation commençant à la demie. Il y avait déjà un peu d'attente devant les portes du château. Nous entrons enfin dans les jardins et nous dirigeons vers le château. Un groupe de personnes avait remarqué que j'étais seule, et m'a gentiment proposé de les accompagner. J'ai accepté car il est toujours plus intéressant d'être plusieurs pour aller au spectacle.

    Nous voilà prêts à entrer dans l'histoire. Heureusement, nous étions le 2e groupe, nous n'avons pas trop attendu.

    Nous avons donc suivi l'histoire, constituée d'une dizaine de scénette, en sursautant, en jetant un œil derrière nous, en regardant dans les coins. Les acteurs sont costumés et grimés de façon très convaincante. L'animation dure une quarantaine de minutes passées comme un éclair. Nous voici déjà dehors.

    Lors de notre attente, un des organisateurs nous avait préciser que de 19 heures 30 à 22 heures, le spectacle était « Soft » mais qu'après 22 heures, des créatures se réveillaient.

    Ensuite, nous avons pris une petite collation dans les jardins histoire d'échanger nos impressions sur l'expérience que nous venions de vivre. Impressions plutôt bonnes d'ailleurs, et nous étions d'accord sur le fait que de nuit, ce doit être nettement mieux. La prochaine fois, j'essaierai de voir le spectacle de nuit.

    Le château de Caumont est très beau. Il faudra que j'aille le visiter un de ces 4. J'ai pris 2 ou 3 photos. J'ai remarqué qu'il y a une asinerie.

    Château de Caumont

    Château de Caumont

    Château de Caumont

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    Les Insus (?)

     

    Je suis fan de Téléphone depuis 1977 alors, lorsque j'ai su que les 3 gars du groupe partaient en tournée à travers la France, j'ai voulu ma place.

    Le 21 mai dernier, je suis allée au concert des Insus (ex-Téléphone).

    La mise en vente des billets commençait le 4 décembre 2015 (veille de mon anniversaire) à partir de 10 heures. J'avais pris 1 journée de congé pour l'occasion afin d'être tranquille.
    Je me suis donc connecté sur le site des Insus (histoire de ne pas être victime d'arnaque) à 9 heures 45.
    À 10 heures, top départ pour une attente d'une heure.

    Je m'étais connectée sur plusieurs sites, je la voulais ma place de concert. Je voyais les serveurs « tomber » les uns après les autres pour cause de « très grande affluence pour un évènement » (Eh oui, depuis le temps que les fans attendaient cela...). Fébrile, j'ai attendu patiemment... Une page s'ouvre pour passer ma commande. Validation à 11 heures 10. Yessss ! Quel soulagement, j'étais connecté sur le site de la production.

    J'avais eu l'adresse du site par « les Insus » qui mettaient en garde sur leurs pages de réseaux sociaux contre les arnaques.

    Il ne me restait plus qu'à attendre le facteur. Une semaine plus tard, j'avais en main... le Graal.

    Les Insus (?)

    Je suis arrivée de bonne heure pour avoir, autant que possible, une bonne place. J'étais à 10 ou 15 mètres de la scène, je voyais donc très bien Jean-Louis Aubert, Louis Bertignac et Richard kolinka.

    Le Zénith de Toulouse était plein. 11 000 personnes étaient présentes d'après Louis Bertignac.

     

    Les Insus (?)

    Les Insus (?)

    Les Insus (?)

    Les Insus (?)

    Les Insus (?)

    Les Insus (?)

    Dommage que le micro de mon smartphone n'était pas bien configurer car le son est saturé.

    Malgré tout, un petit extrait (avec un son très mauvais) :

     

    Ce fut un bon concert, bien trop court quand on aime. Même sans avoir réécouter les albums de Téléphone, je me suis surprise à chanter toutes les chansons. Les paroles sont ancrées dans ma tête. Je serai bien restée plus longtemps.

    Je n'avais jamais vu Téléphone en concert, seulement entendu un copain me parler de leur passage dans la boite de nuit « Le pied » près de L'Isle-Jourdain.... D'ailleurs, Jean-Louis Aubert en a parler lors du concert.

    À défaut de Téléphone j'aurai vu les Insus chantant du Téléphone. Un beau cadeau et un très bon souvenir.

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